La Promesse Brisée des Réseaux Sociaux : Pourquoi Nous Construisons Sunslider
Vous vous souvenez de cette scène dans Les Goonies où Mouth, trempé au fond du puits à souhaits, craque ? Il regarde toutes ces pièces, submergé par un sentiment d’injustice, réalise qu’on lui a menti encore et encore, et finit par frapper le mur, incapable d’en supporter davantage.
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Voir les annonces venant de Washington D.C., Twitter, Meta et d’autres ces derniers mois a provoqué le même effet pour beaucoup de gens. Nous en avons assez. Ce moment du puits à souhaits se répète chaque jour, partout dans le monde, pour des milliers de personnes.
Il est temps de reprendre ce qui nous appartient. Les oligarques ne peuvent plus rester là-haut à tirer les ficelles.
Motivations
Chaque fondateur a son propre parcours. Certains naissent avec cette impulsion, d’autres la découvrent plus tard, pour des raisons variées.
En ce qui me concerne, je ne corresponds pas au profil type du "fondateur" (à part le fait d’être un homme blanc). Je ne peux pas acheter ma place sur la liste des Forbes 30 Under 30 — et soyons honnêtes, même pas sur celle des 40 Under 40. Je ne suis pas codeur, et mon quotidien se déroule avec un budget limité. Je ne suis pas motivé par un traumatisme d’enfance qui m’aurait laissé une soif inextinguible de célébrité et de pouvoir.
J’ai une famille et des amis que j’aime. J’ai été gardien de chiens, enseignant universitaire, spécialiste du contenu. Je fais de la soupe pour mes enfants parce que c’est la meilleure façon de leur faire manger des légumes. Je prépare un bon gin tonic (la clé, c’est un quartier de pamplemousse) parce que ma femme l’adore, même si je préfère un Negroni. Bref, j’apprécie déjà ma vie.
Alors, pourquoi me lancer dans cette aventure ?
Parce que je crois en certaines valeurs, et je pense que d’autres les partagent. Elles sont au cœur de ce que nous construisons ici.
Sunslider croit...
Les faits comptent.
Nous ne perdons rien quand le système cesse de nuire aux autres.
Les nazis restent les pires, qu’ils viennent d’Innsbruck, de l’Illinois ou pas loin de Ingersoll Road.
Nous sommes plus qu’un amas de données.
Nos vrais amis comptent plus qu’une bande d’influenceurs.
Les oligarques ne nous possèdent pas.
Ça s’appelle le Golfe du Mexique.
L’Essentiel
On vous dira que tout est une question d’algorithme. Et pour une entreprise comme Google, c’est vrai : il est incroyablement complexe d’indexer tout l’internet et de trier ces informations de manière pertinente.
Mais pour un réseau social, ce n’est pas vrai.
Dans un réseau social, tout tourne autour des gens.
Sur Instagram, l’algorithme ne règne pas en maître parce qu’il améliore votre expérience, mais parce qu’il alimente la croissance des revenus de Meta.
Le problème, c’est que cela ne vous donne pas le produit que vous méritez. En 2018, j’ai quitté Facebook parce que leur algorithme n’avait aucune idée de qui étaient mes vrais amis. Ces entreprises aspirent toutes nos données, non pas pour nous offrir une meilleure expérience, mais pour maximiser leurs profits.
Ça ne devrait pas fonctionner ainsi. Le pouvoir des réseaux sociaux appartient aux gens.
Alors faisons comme dans Field of Dreams :
Si nous le construisons correctement, ils viendront.

N'oubliez pas nos deux autres articles de lancement, dans lesquels nous expliquons davantage sur Sunslider : Le Patagonia des Réseaux Sociaux et Construire Sunslider : Les Réseaux Sociaux avec les Valeurs en Premier.